De père en tweet
Où les tares sont génétiques
Salut les copines (et accessoirement les copains, même si pour l'instant ils se font rares) !
Toute d'abord, joyeuses Pâques avec un peu de retard... mais il paraît que de parler la bouche pleine de chocolat ça ne se fait pas, donc j'ai préféré m'abstenir jusque là. En plus, j'ai un quart d'heure pour écrire ce billet, car j'ai promis au père Minos de me coucher de bonne heure, histoire d'être un peu agréable au réveil pour une fois.
Sinon, j'ai un truc de dingue à vous annoncer : vous pouvez me trouver sur Twitter sous le pseudo La_mere_minos.
Je dis bien que VOUS pouvez me trouver, car j'aurais du mal à venir vous chercher quant à moi. Je suis aux balbutiements de mon apprentissage et ce n'est pas fini !
Quand je pense que je me suis payé la tronche de mon géniteur pendant des lustres parce qu'il ne savait pas comment allumer une télé et que j'ai dû le former à l'utilisation d'un téléphone portable... trois semaines à lui apprendre comment composer un numéro, joindre un correspondant, parler dans un combiné sans fil. Et tout cela pour quoi ? Pour qu'il finisse laborieusement par m'appeler et me demande comment faire pour raccrocher...
Je crois bien que Twitter, c'est mon téléphone portable à moi.