Il y a comme un cheveu
Je sais qu'on est en pleine tendance shearling (je mets en lien, pour les enfants sauvages que vous êtes, quelques exemples grâce à un billet d'une certaine baby modeuse) et qu'on a bien failli gagner la dernière coupe du monde de rugby. Mais franchement ? Vous trouvez ça vendeur, vous ?
Je sais bien que s'il y a deux choses dont on n'est pas responsable dans la vie, c'est bien de sa famille et de sa pilosité, mais soyons sérieux, les publicitaires pensent-ils vraiment séduire la ménagère de moins de 50 ans, lui faire hurler son numéro de carte bancaire, avec une barbe et des cheveux longs et gras ?
Ouais ok.
Lui il a vendu une religion à des milliards d'hommes à travers les siècles.
Mais c'est une réussite commerciale hors du commun des mortels, comme on n'en voit qu'une par système solaire.
Alors, je reformule.
Je veux bien que l'on revienne aux fifties avec pour VRP ce genre là :
Mais laisser un gros poilu et chevelu nous faire la danse du ventre pour du parfum,
des pansements,
du poker en ligne,
ou une mutuelle,
c'est un peu comme foirer une seconde fois son master en marketing et publicité, non ?
Bon, pour vous la faire courte les mecs, les poils c'est bien.
Mais trop, c'est trop !
Vous aimeriez, vous, voir ce genre de filles en 4 par 3 juste à peine sortis du petit-déjeuner ?
Hein ?!
Bon.
ALORS !